Devenir propriétaire ou rester locataire ?
Vous hésitez encore à sauter le pas vers l’accession à la propriété car vous craignez de vous endetter et de ne plus avoir la capacité financière pour profiter des « petits plaisirs » de la vie tels que sorties entre amis, dîners au restaurant, week-ends improvisés, … ?
Pas de panique ! ICI nous avons les clefs pour vous permettre de prendre votre décision d’achat immobilier en ayant toutes les cartes en main.
Première étape : il faut définir votre capacité d’emprunt
C’est à dire le montant maximum que vous ou votre foyer pouvez emprunter en fonction de vos revenus et de vos charges, sur une période donnée. On l’appelle aussi la capacité de remboursement.
Comment faire ? venez nous voir ; ICI, calculer un budget et des mensualités, c’est notre métier.
Ainsi, vous saurez exactement quelles dépenses affecter, chaque mois, à votre lieu d’habitation.
Seconde étape : il convient de comparer le coût de l’achat avec celui de la location
Au préalable, il faut avoir à l’esprit qu’il faut rester propriétaire suffisamment longtemps pour que l’achat soit plus rentable que la location.
En règle générale, il est déconseillé d’acheter pour moins de 6 ans, voire 8 ou 10 ans en période de hausse des prix de l’immobilier, ou dans les villes où les prix d’achat sont en proportion beaucoup plus élevés que les loyers.
Comment comparer ?
En listant toutes les dépenses et frais annexes relatives à la location, et celles relatives à l’achat, le tout sur 3 exemples de durée : 6, 8 et 10 ans
- Coût du loyer du logement
- Le montant du loyer(1), sans prendre en compte les charges locatives (eau, électricité, …), puisque ces dépenses seront également à payer pour un propriétaire.
(1) Ne pas oublier de prendre en compte l’augmentation annuelle du loyer (réglementée).
- Dépenses affectées à l’acquisition d’un bien :
- Le montant des mensualités du prêt immobilier
- Le montant des échéances mensuelles de l’assurance emprunteur
- Le montant* des éventuels travaux à effectuer (amélioration du logement et/ou dépenses obligatoires de copropriété : façade, ascenseur, …),
- Le montant de la taxe foncière (si vous ne connaissez pas son montant, partez sur une base d’un mois de loyer hors charges)
- Les éventuels frais* d’agence si l’achat ne se fait pas entre particuliers et/ou si le montant n’a pas été inclus dans le prêt
- Le montant* des taxes relatives à la viabilisation et/ou aux raccordements aux réseaux si vous achetez un terrain en vue de faire construire (Taxe locale d’équipement, frais de raccordements aux réseaux d’eau, d’assainissement, d’électricité, …) si ces frais n’ont pas été inclus dans le prêt
* montant à proratiser au mois, en fonction du nombre d’années (6, 8 ou 10) du comparati
Et pour aller plus loin dans la comparaison :
Si vous êtes en location, et que vous possédez un apport personnel destiné à une acquisition, le montant de cet apport peut être placé sur un support financier rémunérateur (Livret, PEL, …).
Ainsi, il constituera une source de revenus à mettre en « déduction » du montant de votre loyer lorsque vous ferez votre calcul comparatif.
De même, si la mensualité de votre crédit est inférieure au coût de votre loyer, la différence peut être épargnée et constituer un placement qui rapportera et fera encore baisser -sur le papier- le coût de votre crédit.
Vous pouvez faire le calcul vous-même sur un tableur informatique par exemple, ou nous soumettre vos éléments : en nous basant sur des mensualités de prêt fiables et représentatives de la réalité grâce à un taux négocié par nos soins, ICI nous comparerons pour vous les deux possibilités et vous conseillerons en toute franchise sur la solution la plus adaptée à votre situation financière.
Oui mais … comment savoir combien de temps vous resterez propriétaire du même bien ?
Il faut prendre en compte les paramètres tels que : mobilité professionnelle, études des enfants, mode de vie, … et tout ce qui pourrait vous amener à déménager, afin d’estimer la durée pendant laquelle il vous semble « probable » de rester dans l’appartement ou la maison que vous voulez acheter.
Et si, en cas d’obligation de mobilité géographique, il vous sera possible de mettre votre bien immobilier en location, ou encore le revendre sans perte financière.
Pour conclure, nous vous invitons à garder à l’esprit deux points importants :
Lorsque vous achetez :
- en cas de perte de revenus (chômage, maladie, accident, handicap, …) votre assureur emprunteur peut prendre le relais sur les mensualités de votre prêt.
- vous amortissez du capital que vous récupérerez à la revente, alors qu’en location les versements sont à fond perdu.
Voilà, nous y sommes : vous avez bien pesé le pour et le contre et vous êtes parvenu à la conclusion qu’être propriétaire de votre logement est un investissement sûr et pérenne.
Vous êtes donc prêt à faire le grand saut et à vous lancer dans la grande aventure de l’achat #immobilier !